Une métropole,
cinq histoires d’amour avec
la langue française
Premier balado créé par Culture Montréal, Francophiles dans la ville est une série en cinq épisodes qui brosse le portrait d’artistes et de créateurs qui se racontent à travers des lieux montréalais significatifs pour eux. Ces personnes ont en commun de ne pas avoir le français comme langue maternelle et de l’avoir adopté au fil du temps, notamment à travers la culture.
Sur la base d’entrevues qui prennent la forme de récits de vie, nous retraçons les lieux, les chemins, les événements et les rencontres qui ont inspiré et alimenté l’intérêt et le désir de ces grands francophiles à vivre une vie en français à Montréal.
Épisodes
1 — Bande-annonce (Saison 02)
1 — Bande-annonce (Saison 02)
Le balado Francophiles dans la ville est de retour pour une deuxième saison ! Toutes deux nées à Montréal, l’autrice-compositrice-interprète Martha Wainwright et la critique gastronomique Lesley Chesterman partagent un autre point commun : le français n’est pas leur langue maternelle. Elles l’ont toutes deux adopté au fil du temps, notamment, grâce aux arts et à la culture. C’est à travers divers lieux montréalais d’importance pour elles, des événements marquants et des rencontres déterminantes qu’elles racontent pourquoi elles ont choisi de vivre une vie en français à Montréal.
2 — Lesley Chesterman
2 — Lesley Chesterman
Pour la critique gastronomique Lesley Chesterman, la bonne cuisine est plus qu’une passion, c’est un mode de vie. D’ailleurs, sans surprise, les mots de la langue française qu’elle affectionne le plus sont issus du lexique culinaire. Dans cet épisode, cette pâtissière de formation nous offre sa vision de la place qu’occupe la gastronomie au sein de notre culture à travers trois lieux chers à ses yeux : l’incontournable Restaurant L’Express; la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, où elle se remémore son passé de ballerine et, finalement, le café Bazin, un petit bistro français situé en plein cœur du quartier Westmount.
3 — Martha Wainwright
3 — Martha Wainwright
Pour l’autrice, compositrice et interprète Martha Wainwright, la langue française est comme une amie d’enfance qu’elle retrouve chaque fois qu’elle revient à Montréal. Tout comme la musique, le mariage entre la langue anglaise et française est inscrit dans son ADN. Dans cet épisode, elle se confie sans fard et visite des lieux qui ont marqué divers moments de sa vie : la Plaza Saint-Hubert, qu’elle fréquentait enfant avec sa mère, l’auteure, compositrice et interprète Kate McGarrigle, le Théâtre Outremont, salle mythique où elle a performé à la fois seule et accompagnée de ses proches et, finalement, son nouvel espace, l’URSA, qu’elle considère comme sa deuxième maison.
4 — Bande-annonce (Saison 01)
4 — Bande-annonce (Saison 01)
Le balado Francophiles dans la ville brosse le portrait d’artistes et de créateurs qui se racontent à travers des lieux montréalais significatifs pour eux. Ces personnes ont en commun de ne pas avoir le français comme langue maternelle et de l’avoir adopté au fil du temps, notamment à travers la culture. Sur la base d’entrevues qui prennent la forme de récits de vie, nous retraçons les lieux, les chemins, les événements et les rencontres qui ont inspiré et alimenté l’intérêt et le désir de ces grands francophiles à vivre une vie en français à Montréal.
5 — Jim Corcoran
5 — Jim Corcoran
C’est à travers la poésie du quotidien et, surtout, à travers celle de la musique que l’histoire d’amour entre Jim Corcoran et la langue française a pris naissance. Passionné et inspiré par la culture populaire québécoise, particulièrement celle des années 1970, l’auteur, compositeur et interprète sherbrookois a toujours cherché à y contribuer à sa manière. Celui qui a adopté Montréal, il y a une trentaine d’années déjà, nous entraîne dans les rues du Plateau Mont-Royal à la découverte du parc Lafontaine, un lieu qui lui permet de se ressourcer, de la salle de spectacle la Casa del Popolo et d’un petit disquaire, L’Oblique, qui survit depuis moult décennies et où Jim se rend parfois avec sa guitare.
Au moment de l’enregistrement de cet épisode, Jim Corcoran était toujours à la barre de l’émission « À propos » diffusée sur CBC Radio.
6 — Hada Lopez
6 — Hada Lopez
Pour l’écrivaine et architecte salvadorienne Hada Lopez, le Québec et la langue française représentent tous deux le renouveau. Celle qui a fui son Salvador natal pour éventuellement décider de s’établir dans la belle province, nous raconte le récit émouvant de son arrivée et de son apprentissage du français à travers les lieux montréalais qui lui permettent de partager des moments de paix et de bonheur avec ceux qu’elle aime. Femme d’une grande sensibilité, nous l’écoutons s’émouvoir devant la splendeur architecturale de la Basilique Notre-Dame, devant l’oasis qu’est le Jardin botanique ainsi que devant les artéfacts du personnage de Sol à la Bibliothèque Marc-Favreau nommé en hommage à cet artiste québécois qu’elle affectionne particulièrement.
7 — Gideon Arthurs
7 — Gideon Arthurs
Pour Gideon Arthurs, le plaisir de vivre en français se ressent principalement lors des petites interactions du quotidien. Les gens croisés dans un café au marché Jean-Talon et lors d’une balade contribuent tous, à leur façon, à renforcer son amour de la langue française et son sentiment d’appartenance à la communauté. Installé à Montréal avec sa famille depuis 2014, l’homme de théâtre, originaire de Toronto et grand francophile, nous fait découvrir l’École Marie Favery que fréquente ses deux filles, le Marché Jean-Talon, lieu qu’il fréquente toutes les semaines, comme une tradition, en compagnie de sa famille, ainsi que le Monument-National, un lieu fédérateur de culture depuis plus d’un siècle.